Symbole de la femme algérienne combattante, Meriem Bouattoura, cette héroïne chaouie tombée à la fleur de l’âge, n’a peut-être pas eu les hommages qu’elle mérite, et son histoire, fabuleuse et quasi mythique, doit être portée au plus large public : …
Afficher la suitePortraits
Afulay, l’écrivain amazigh
L’étude suivante répond essentiellement à deux motifs, d’une part à une absence manifeste des études qui traitent des rapports qui unissent l’héritage oral amazigh à la littérature écrite par des Imazighen dans d’autres langues… Si l’oral véhicule l’écrit, si l’oral …
Afficher la suiteRafika Hakkar, la reine du funk-chaoui
L’expérience musicale de Rafika Hakkar est l’une des plus intéressantes sur la scène chaouie. En effet elle l’une des rares chanteuses qui a fait “voyagé musicalement” la chanson chaouie . Des caraïbes, jusqu’à l’Afrique de l’ouest en passant par l’Amérique, …
Afficher la suiteZiza Massika, l’Aurèsienne
Après ses études primaires à Hbathent (Batna), sa région natale, Sakina ZIZA poursuit à Sétif en 1950 ses études moyennes de la 4e classe Moderne a la seconde classe M de dans le collège de jeunes filles (actuellement lycée Malika …
Afficher la suiteOthmane Saâdi : splendeurs et misères d’un courtisan
Othmane Saâdi est l’incarnation du charlatanisme intellectuel qui a sévit en Algérie depuis l’indépendance, encouragé par l’idéologie panarabiste du parti unique pour lequel il joua admirablement le rôle de sous-fifre , cet imposteur intellectuel a inspiré des politiques qui furent …
Afficher la suiteKhelaïfia Rebaï avait 20 ans dans les Aurès
Ils sont entrés dans la guerre comme on entre en religion, avec foi et détermination, sans dérobade ni reculade. Ils avaient vingt ans dans les Aurès, et que le cinéaste militant engagé René Vautier a su immortaliser avec sa caméra …
Afficher la suiteAhmed Gadda ou la mémoire des Aurès
Ils étaient seize à faire la loi dans les Aurès. Seize «bandits», pour le colonisateur français, qui ont rejoint le maquis de 1946 à 1954 pour l’honneur du peuple des Aurès. «Les bandits d’honneur» menaient, sans aucune aide, leur révolution …
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